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 Les gens que j'ai aimés de Pretender/SV/PG/CHLEX/One shot

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MessageSujet: Les gens que j'ai aimés de Pretender/SV/PG/CHLEX/One shot   Les gens que j'ai aimés de Pretender/SV/PG/CHLEX/One shot Icon_minitimeLun 23 Avr - 14:51

Les gens que j’ai aimés.



RESUME : une intrigue? Quelle intrigue? C’est juste Lex en train de réfléchir... et c’est plutôt déprimant, désolée pour ça

NOTE DE L’AUTEUR : je suis au courant que Lana semble un peu (d’accord, bcp) différente de son vrai perso, mais... j’avais besoin de quelqu’un d’intelligent pour cette fic autre que Chloé et Lex, alors j’ai décidé de lui prêter un cerveau pour un court moment.

Cette fic est la traduction de celle que j’ai publié sous le mm titre sur N-S.net. Sur le forum, on m’a demandé une suite, qui est terminée (en anglais) dc, si vous la voulez, dîtes-le moi, et je la traduirai aussi pour la mettre sur thot !

DISCLAIMER : je voudrais bien qu’ils soient à moi, mais c pas le cas

GENRE : Chlex (bien sûr), Lex POV



*



Comment une chose si simple peut-elle amener tant de souvenirs ? Je me demande ce qu’un psychologue en penserait… Lex Luthor pensant à sa Mère disparue à cause d’une tasse de café vide… je rirais à l’absurdité de cette réflexion… sauf que je ne peux plus rire. Je pense que j’ai perdu le mode d’emploi pour rire quelque part entre la tombe de ma Mère et Excelsior. Elle adorait le café. Encore quelque chose qu’elle avait en commun avec la petite blonde assise à deux tables de moi. Je suis obligée de résister à l’envie de secouer la tête pour m’éclaircir les idées. Je sais comment mon esprit fonctionne. Il fait des liens. Des liens entre des gens, des choses, des sentiments, des odeurs, des sons... J’ai remarqué une fois à quel point le sourire de Chloé ressemblait à celui de ma mère et maintenant, à chaque fois que je pense à l’une d’elles, l’autre me vient aussitôt à l’esprit. Alors… arrête, cerveau… pas de liens. Concentre toi. Maman.

Seigneur, je l’aimais. Je veux dire... je sais que tous les gamins aiment leur mère. Même s’ils ne s’en rendent pas compte. Mais ce qui rendait cet amour si spécial était – et je ne peux pas croire que je suis même en train de penser ça – mon père. Oui, mon père a fait quelque chose de bien pour moi, il y a longtemps : c’est grâce à lui que j’ai aimé ma Mère bien plus que je ne l’aurais aimée s’il n’était pas un bâtard sans cœur. J’avais trop d’amour à donner, et je l’ai entièrement donné à ma Mère. C’est ce qui a rendu l’épreuve si difficile quand elle est tombée malade. Je me suis battu autant que j’ai pu, j’ai essayé de trouver n’importe quoi qui pourrait la sauver, mais je n’ai tout simplement pas pu. J’ai surmonté ce sentiment de culpabilité qui me disait que si je m’étais battu plus fort elle serait peut-être toujours en vie il y a longtemps, mais ça ne soulage pas la douleur. Et s’il vous plaît, n’écoutez pas quand les gens vous disent comment « avec le temps ça s’arrange ». Ca ne s’arrange pas. Vous apprenez juste à cacher la souffrance. Certaines personnes la cachent comme je le fais, en portant un masque d’indifférence. Ca marche. Pour moi en tout cas. Si l’histoire de ma famille n’était pas connue par tout le monde dans ce pays, on ne devinerait pas, en me regardant, que j’ai perdu ma mère à l’âge de 12 ans. Mais ce n’est pas la manière la plus efficace de cacher la douleur. La manière la plus efficace a été trouvée par Chloé Sullivan. Vous voyez, quand vous portez ce masque dont je parlais, celui que je suis désormais célèbre pour porter, les gens s’interrogent toujours. Ils savent que vous cachez quelque chose, et ils veulent savoir ce que c’est. Ils essaient d’imaginer ce qui vous est arrivé et à quoi vous voulez échapper, ce que vous ne voulez pas qu’ils sachent. Par contre, quand vous êtes un livre ouvert, les gens n’essaient pas de voir au-delà de votre apparence, parce qu’ils vous connaissent, ils savent que vous ne leur cachez rien. Ou du moins ils croient savoir. Et c’est ce dont ils ont besoin. Chloé est passée maîtresse dans cet art : portant toujours ses émotions sur son visage pour que tout le monde croit qu’ils savent ce qu’elle pense, alors qu’en fait ils ne voient que la surface. Cela fonctionne même avec ses meilleurs amis. Lana, Pete, Clark... ils n’ont aucune idée de ce qui se passe. Ils sont tellement persuadés de savoir tout ce qu’il y a à savoir sur elle qu’ils n’essaient pas de voir au-delà cette apparence. Je pense que même son père ne la connaît pas aussi bien qu’il le croit. Et maintenant, vous allez me demander comment je sais, n’est-ce pas ? C’est simple : je regarde. Je regarde et vois. Elle souffre. Du départ de sa mère, du manque de sentiments romantiques de Clark envers elle, d’être l’outsider, d’être coincée dans cette école qu’elle déteste avec des gens qu’elle déteste. De beaucoup de choses que même moi je ne peux imaginer. Merde, j’ai recommencé… des liens. Comment ai-je commencé à penser à Chloé ? Plus maintenant. Ma Mère. Je l’aimais et elle est morte.

Pendant un petit moment, après sa mort, ma nourrice m’a aidée… puis m’a trahi. Elle est partie, tout comme la mère de Chloé… et qu’est-ce que je viens de dire – de penser, peu importe – à propos des conversations mentales hasardeuses menant à Chloé ? Alors, Pamela. Je ne peux pas croire que mon père ait réussi à l’intimider. Elle était forte. La seule chose dont elle avait peur était que quelque chose nous arrive, à moi ou à ma Mère. Quand Maman est morte, mon père a menacé de me déshériter si elle restait. Je me souviens toujours de ce qu’elle m’a dit le jour où elle est revenue… « il voulait réduire l’influence de votre mère et renforcer la sienne. » Je voudrais tellement bénéficier de l’influence de ma mère, pas de celle de mon père. Qui voudrait être l’enfant de Satan ? Je le suis, mais je ne veux pas l’être. Qu’est-ce qui peut me tenir éloigner de ce côté sombre, celui que chaque personne possède, celui qui est plus fort en moi qu’en n’importe qui, merci à mon père ? Ma Mère pourrait le faire. Pamela pourrait le faire. Les gens que j’aime pourraient le faire. Mais les gens que j’aime disparaissent toujours. Ou me trahissent. Dans le cas de Pamela, ça a été les deux, en fait : pendant neuf ans j’ai cru qu’elle m’avait trahi, puis elle est revenue et j’ai appris que ce n’était pas vrai... et elle est morte. Je l’aimais et elle est morte.

Il y a quelqu’un d’autre que j’ai aimé, profondément. Je sais, j’ai dit à Clark que je n’avais aimé que deux femmes dans ma vie… mais ce n’était pas une femme. C’était un garçon. Un bébé, en fait. Julian. Mon frère. Tout était tellement magnifique quand il était là... Même mon père n’était pas aussi maléfique qu’avant. Il le voyait comme une seconde chance, je suppose... J’aurais probablement du être jaloux, mais ce n’était pas le cas. L’affection de mon père est quelque chose qui m’a toujours manqué, mais cela ne signifie pas que j’en avais suffisamment besoin pour mépriser un bébé qui ne le méritait pas. Je dois dire que j’étais plutôt sage enfant. Quand cela a-t-il changé, je n’en sais rien. Probablement au moment où j’ai appris de la manière la plus dure qui soit que les gens ne sont pas immortels. Quand Julian faisait partie de la famille, je me voyais dans le rôle du grand frère, celui qui lui apprendrait tout ce qu’il aurait besoin de savoir pour faire face au monde et à ses tragédies… quel fou j’étais ! Je ne savais rien de ces tragédies à ce moment là. Maintenant je sais. Je sais que la vie n’est pas toujours une chose merveilleuse. Mais je sais aussi qu’elle vaut la peine d’être vécue quand même… du moins je l’espère. Je voudrais que Julian puisse la vivre aussi. Je l’aimais et il est mort.
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MessageSujet: Re: Les gens que j'ai aimés de Pretender/SV/PG/CHLEX/One shot   Les gens que j'ai aimés de Pretender/SV/PG/CHLEX/One shot Icon_minitimeLun 23 Avr - 14:51

Vous commencez à voir un schéma là-dedans ?

Mes yeux s’éloignent de la tasse que je tiens toujours entre mes mains quand j’entends un son familier venant de la table de Clark et Chloé : son rire. Seigneur j’aime ce rire. J’aime le sourire qui vient juste après le rire. J’aime l’étincelle qui brille toujours dans ses yeux quand elle parle de quelque chose qui la passionne. J’aime la façon dont ses cheveux s’emmêlent quand elle secoue la tête, puis reviennent à leur forme normale. J’aime la couleur de ses yeux... même si je suis toujours en train d’essayer de décider s’ils sont bleus ou verts. La plupart du temps verts, parfois bleus… les jours d’orage. J’aime son corps, ou le peu que j’en ai vu. J’aime sa nature pétillante. J’aime rester assis là et la regarder. J’aime rester assis là et parler avec elle. J’aime le fait qu’elle ne soit pas intimidée par moi, mon nom, mon argent ou mon pouvoir. J’aime même sa passion pour le journalisme ! Oui, je pense que vous l’avez compris maintenant : je l’aime.

J’ai d’abord essayé de le nier. J’ai découvert bien trop jeune que l’amour est une émotion dangereuse. Elle vous fait perdre le contrôle, chose inacceptable pour un Luthor. Mais je ne veux pas être un Luthor. Je veux être Lex. Le Lex que personne ne connaît. Le Lex que j’aimerais qu’elle connaisse.

Mais je ne la laisse pas entrer.

Etrange, je sais.

Vous vous souvenez ce que je disais il y a quelques minutes ? A propos des gens que j’ai aimés ?

Oui ?

Et bien... je ne veux pas que quoi que ce soit de ce genre lui arrive. J’ai perdu trop de gens dans ma vie pour permettre que cela arrive de nouveau. Et oui, je me rends compte que ce raisonnement n’est pas tout à fait logique. Je veux dire… je sais que je ne peux pas être celui qui provoque leur mort. Il n’y a pas de dieu, quelque part, jouant avec un autre à « qui peut faire souffrir Lex le plus possible » ou « qui allons-nous tuer cette fois ? Hey, tuons quelqu’un que Lex aime ! » Je sais que le fait que je les aimais n’est pas ce qui les a tués. Si c’était le cas, alors je pourrais lui dire ce que je ressens : le simple fait que je le ressente serait suffisant pour la mettre en danger. Je sais tout ça. J’y pense tous les jours depuis… bon, je ne dirai pas depuis que je l’ai rencontrée, parce que ce n’est pas vrai : j’ai d’abord du apprendre à la connaître avant de tomber amoureux d’elle. Alors, disons depuis le jour où elle m’a le plus impressionné : cette interview. Je sais.

Mais ça ne m’empêche pas, ou une partie de moi, de m’inquiéter. Qui suis-je en train d’essayer de tromper ? Je ne m’inquiète pas, je suis mort de peur. Pour elle. Cette partie de moi ne veut pas m’écouter quand je dis que ces trois pertes ne signifient pas que cela arrivera de nouveau.

Le pire là-dedans est que je sais que je pourrais être l’homme parfait pour elle. Je sais que je pourrais être tout ce qu’elle a toujours cherché. Je sais que je pourrais lui faire oublier Clark et son béguin pour lui. Je sais qu’elle pourrait m’aimer. Je pourrais faire en sorte qu’elle m’aime.

D’accord, cela sonnait bien plus manipulateur que je n’en avais l’intention. Je sais que je suis connu pour toujours avoir un motif caché. J’en ai souvent un. Même quand je l’ai rencontrée j’avais un motif caché : je voulais en apprendre plus sur sa théorie des météorites. Et je dois dire que j’en ai été impressionné. Mais ce n’est pas la question. La question, c’est que je voulais la rencontrer pour qu’elle me donne ce que je voulais. Et maintenant… et bien, ça n’a pas d’importance.

Ou, plus exactement, cela a de l’importance, mais il y a certaines choses que je ne suis pas encore prêt à m’avouer. Comme le fait que non seulement je l’aime, mais j’ai besoin d’elle.

Mais comme je l’ai dit, pas prêt.

Lana se dirige vers moi. Ah, merde, elle a remarqué que je n’avais plus de café. Elle veut savoir si j’en reveux. N’a-t-elle pas remarqué aussi que je veux être seul ?

_Non, merci.
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MessageSujet: Re: Les gens que j'ai aimés de Pretender/SV/PG/CHLEX/One shot   Les gens que j'ai aimés de Pretender/SV/PG/CHLEX/One shot Icon_minitimeLun 23 Avr - 14:52

Elle me lance un regard entendu. Entendu ? Depuis quand Lana fait-elle dans l’entendu ? Bien sûr, elle peut être intelligente. Mais entendu ? Cela veut dire être intuitive, cela veut dire savoir ce que les gens pensent, et je ne suis pas quelqu’un qui aime ça quand les gens savent ce que je pense. Pas que cela arrive souvent.

_Vous devriez lui dire.

Je suis surpris un moment, mais ça ne dure que moins d’une seconde.

_Dire quoi à qui ?

_Dire à Chloé que vous l’aimez.

Pour la première fois depuis aussi longtemps que je m’en souvienne, je suis muet. Comment peut-elle savoir ça ? Ce n’est pas comme si c’était écrit sur mon visage, si ?

_Ne vous en faîtes pas, personne ne sait, à part moi.

Génial, d’abord elle sait que je suis amoureux de Chloé, elle ose me donner des conseils, ensuite elle lit dans mes pensées. Et elle a réussi à garder sa voix calme et basse alors que je suis tout à la fois stupéfait, furieux, et curieux. Il me faut une longue minute avant de répondre :

_Et comment sais-tu ce que tu crois savoir ?

Elle hausse les épaules.

_Je le sais. La façon dont vous la regardez, en grande partie. La façon dont Christian regarde Satine dans « Moulin Rouge ».

Je n’ai pas vu ce film, mais j’ai vu les présentations, et je peux aisément deviner de quoi elle parle.

_Ou peut-être que tu imagines simplement des choses.

_Oui, c’est ça. Et c’est pour ça que vous n’avez pas encore nié.

Quand Lana a-t-elle commencé à utiliser le sarcasme mieux que moi ? J’en accuse mes souvenirs déprimants. Elle continue avant que j’aie une chance de répondre :

_Vous savez, je me fiche de savoir quelles excuses vous avez trouvées pour éviter de lui parler, elles ne sont que ça : des excuses. Age, patron de son père, amis de Clark ? Des excuses.

Pour ça, j’ai une réponse.

_J’essaie de la protéger.

Bon... apparemment, ça l’a prise par surprise. Je n’avais pas l’intention de l’admettre juste comme ça, mais au moins ça semble l’avoir faite taire. Peut-être n’a-t-elle pas compris la situation aussi bien qu’elle le croyait.

_Essayer de protéger qui ?

Génial, juste la personne dont nous étions en train de parler. Comment a-t-elle réussi à venir ici sans que je la vois ? Je suppose que j’étais distrait par ma conversation déconcertante avec Lana. Je souris légèrement, sachant que dire une demi-vérité est le meilleur moyen de se tirer de ce genre de situation.

_Lana est persuadée que je suis amoureux de quelqu’un.

_Et ?

_Et rien, parce qu’elle à tort.

Je suis ravi d’avoir appris à mentir en regardant quelqu’un directement dans les yeux. C’est assez convaincant.

_Vraiment ?

Lana choisit cet instant pour sortir de la transe dans laquelle elle était plongée depuis que je lui ai dit que j’asseyais de protéger Chloé.

_Je n’ai pas tort.

_Qu’est-ce que tu en sais ?

_Je le sens.

Chloé sourit. Le sourire que j’aime tant, celui qui me fait oublier qu’il y a de mauvaises choses en ce monde.

_Je vais devoir être d’accord avec Lana, alors. “Tous les raisonnements des hommes ne valent pas un sentiment d’une femme”, Lex. Vous devriez savoir ça.

Je dois dire que je suis impressionné. Peu de personnes peuvent citer Voltaire, encore moins dans sa propre langue. Apparemment, Lana n’est pas l’une d’elles.

_Qu’est-ce qu’elle a dit ?

Je traduis pour elle.

_Apparemment, j’ai loupé quelque chose en n’allant pas à ces cours de littérature française cet été après tout.

Chloé jette alors un coup d’oeil à sa montre et une expression d’excuse se peint sur son visage.

_Il faut que j’y aille. Lex, si jamais vous décidez de m’accorder une interview et de me dire qui est cette femme mystérieuse, appelez-moi. Lana, je te vois plus tard.

Nous la regardons tous les deux alors qu’elle quitte le Talon, puis je reporte mon attention sur Lana.

_Je suis si transparent ?

_Non, vous ne l’êtes pas. Vous êtes… disons luthorien. Si vous avez besoin d’une preuve… eh bien… elle ne l’a pas encore compris. Est-ce que vous allez y faire quelque chose ?

_Rappelle moi en quoi ça te regarde...

_C’est mon amie. Je veux la voir heureuse, je sais que vous pouvez la rendre heureuse. Qu’y a-t-il d’autre à dire ?

J’acquiesce.

_Je le pourrais. Mais je ne le ferai pas.

_Pourquoi ?

_Le prix est trop élevé.

Elle fronce les sourcils, ne comprenant de toute évidence pas de quoi je parle.

_De quoi parlez-vous ?

_Des gens que j’ai aimés.



*


FIN



*



La suite s'appelle "toute la vérité" et est basée sur les supposés pouvoirs psychiques de la kryptonite rouge. A vous de voir si vous la voulez ou non.
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