Un simple et doux remède de CHloeblood/SV/NC/CHLEX/ one shot

Un simple et doux remède

Disclaimer: Ni les perso ni l'univers de smallville n'est à moi, comme
d'hab quoi ( je sais je sais, maintenant je fais le même pour toutes les
fic, au moins stop la torture! parce que je vous laisse imaginer ce que je
ferai si smallville était à moi !!! niark niark niark)
Catégorie: Mini fic pour un concour sur CFF ( chlex fan forever) répondant
au sujet "Faire un NC"
Genre: bas NC lol

chloeblood@hotmail.fr











Elle se trouvait seule dans le manoir. Le feu crépitait alors que le soleil se couchait. Pourquoi fallait il qu’elle se mette toujours dans des situations impossibles. Certes, faire dire la vérité au gens est un don rare. Combien de personne aurait tué pour l’avoir ? mais elle avait appris bien vite et à ses dépends que la vérité est dure à entendre, peu être même plus qu’elle ne l’est à dire.

Elle était assise dans le canapé de cuir noir et attendait le retour de Lex. Il lui avait promis de l’aider, mais lui comme tous les autres l’évitait. Il n’était resté guère plus de quelques minutes en sa présence. Elle regardait les flammes ardentes éclairer la pièce. Elle s’imprégnait de cette lumière vive essayant tant bien que mal d’oublier ce qui l’entourait. Elle avait appris bien trop de choses aujourd’hui. Lana n’avait jamais eu confiance en elle, Clark ne lui avait rien avoué, et deux personnes qui travaillait pour le journal l’avait traité de fouineuse emmerdante. Elle ne trouvait désormais plus de sens à cette quête acharné de la vérité. Elle était bien trop dure. Une larme dégringola sur sa joue. Elle ne prenait même plus la peine de la retenir.

Elle entendit les portes s’ouvrir. Elle se leva précipitamment pour voir enfin Lex apparaître. Elle effaça la perle salée de sa joue et reprit contenance.

- Bonsoir, dit il sombrement.

- Alors ? dit elle espérant une fin à ce cauchemar.

Il encra ses mains dans ses poches comme il savait si bien le faire. Comment lui dire qu’il n’avait absolument rien trouvé. Il la voyait, sans défense, s’accrochant au seul espoir qu’elle avait désormais, lui. Il se surpris à ne pas vouloir la décevoir. Les liens qu’ils avaient lentement tissés s’était transformés. Il avait conscience que ce n’était plus vraiment de l’amitié qu’il ressentait envers elle. C’était passé bien au delà d’une simple relation amicale, ou d’une amourette de jeunesse. Il la trouvait affreusement belle et intelligente, mais se rappelait constamment qu’elle n’avait que 16 ans.

- Nous cherchons encore Chloé.

Elle tomba de haut. Tomber ? non elle s’écrasa. Elle n’avait cru qu’en lui, n’était allé voir que lui, espérant qu’il ai des réponses à toutes ses questions. Mais elle n’était sûrement pas encore assez importante à ses yeux. Elle sentit de nouveaux les larmes monter mais elle les retint tant bien que mal. Son monde s’effondrait de nouveaux.

Il remarqua que ses yeux se perdait et posa ses mains sur ses épaules.

- Je te promets que je vais trouver Chloé, mais en attendant, tu devra vivre avec…

- Je ne peux pas ! c’est inconcevable !!

- Mais non je suis sûr que…

- Regardes toi ! même toi tu prends tes distances quand tu es avec moi ! pourquoi ?

Il se recula, sachant qu’elle avait un pouvoir incommensurable sur lui. Elle venait de lui poser une question dont il avait toujours caché la réponse. Il sentit son cœur battre plus fort. Il voulait se taire, mais sa voix ne lui répondit pas :

- Parce que je ne veux pas que tu saches ce que je ressens pour toi.

Elle ouvrit de grand yeux devant ce qu’il venait de lui dire. Elle n’était pas stupide, elle avait bien entendu. Elle le regarda se détourner d’elle et prendre un verre. Elle remettait lentement ses idées en place, ne sachant plus vraiment que penser.

- Je…

- S’il te plais ne me demandes plus rien, supplia Lex qui ne voulait pas en dire plus.

Ou aurait il pu se mettre ? il voulait prouver à Chloé qu’il serait toujours là pour elle, mais il rêvait de fuir devant ce qu’elle allait lui demander. Elle ne devait pas savoir, mais s’enfuir alors qu’elle croyait en lui était inconcevable.

- Qu’est ce que tu ressens pour moi Lex ?

Elle savait qu’elle allait porter le rôle de garce en demandant cela, mais il fallait qu’elle sache. Elle ne pouvait pas attendre qu’il veuille bien s’ouvrir à elle.

Il voulait fuir, courir loin d’ici, qu’elle ne lui ai jamais posé cette question qu’il redoutait depuis qu’elle était venu lui demander de l’aide. Il ferma les yeux, les muscles de sa mâchoires se dessinait sous la pression. Il ne voulait rien dire, mais ne pouvait pas. Il la vit s’approcher de lui et contre sa volonté les mots sortirent :

- Je t’aime.

Elle ouvrit la bouche, stupéfaite de ce qu’elle venait d’entendre. Etait elle dans une autre dimension ? non Lex Luthor ne pouvait pas avoir dis ça, encore moins à elle ! elle restait ahurit quand elle sentit des lèvres se poser sur les siennes. Elle voulut d’abord se reculer, pour constater qu’elle ne rêvait pas, mais toute opposition disparut sous la douceur de sa bouche. Elle sentit les mains de Lex remonter sous son pull tandis qu’elle commençait à se perdre en lui. Il la maintint contre elle. Elle ne protestait pas. Elle se contentait de répondre à son étreinte. Elle s’ouvrit enfin à lui, lui laissant plus libre cours à ses pulsions si longtemps refoulé. Elle se perdait dans cet océan de passion et n’envisageait plus aucune soirée sans lui.

Ses mains descendirent plus bas, toujours plus bas, et il finit par la soulever contre lui. Elle noua ses jambes sur ses hanches et il la porta jusqu'à une des chambres, qui se trouvait avec chance à l’étage du salon. Elle se resserrait davantage contre lui, voulant se fondre dans cette chaleur qu’elle découvrait, dans ce parfum enivrant qu’elle faisait désormais sien. Elle se détacha enfin de lui pour s’afféré à retirer sa veste si impeccable. Leur bouches se ne lâchaient pas un seul instant. Il avait un besoin vital de ce contact, de la sentir contre elle, au moins pour cette nuit si elle ne voulait pas aller plus loin avec lui. Elle ne se préoccupa pas des boutons de sa chemise. Ses mains tremblait et tout ce qu’elle pu faire, ce fut d’arracher le tissu de soie bleu. Elle le sentit sourire contre ses lèvres, et cela emplit son cœur d’une nouvelle chaleur.

L’aimait elle ? c’était bien possible. Le fait qu’elle se sente si bien en sa présence était significatif. Elle eu un frisson quand elle sentit ses mains enlever son pull et son débardeur d’un même mouvement. Elle était au point de non retour. Elle allait le faire pour la première foi avec l’homme qu’elle aimait, ce n’était pas beau tout cela ? elle frissonna de nouveau, la température ambiante agressant sa peau.

Il avait rêvé tant de foi de cet instant qu’il en devenait magique. Il la sentit enlever son pantalon, hésitante. Il ne se serait jamais permis de la forcé. Il la stoppa quelques seconde, plaquant ses mains sur ses joues, ramenant ses yeux vers les siens :

- Chloé tu es sure ?

- Tu m’aimes ? demanda elle dans un souffle .

Il grimaça à cette question, il ne voulait pas répondre, mais son pouvoir était bien plus fort :

- Oui.

- Alors oui je suis sure, dit elle dans un sourire.

Elle enleva son pantalon noir définitivement. Il en fit de même avec le siens. Elle frémissait toujours, le froid recouvrant désormais sa peau. Il l’allongea sur le lit et recouvrit son corps du sien, se confondant en elle. Elle ne savait pas très bien ce qu’elle faisait mais retira lentement son boxer. Un doux frisson la parcouru quand il sentit ses mains si féminine sur lui. Cela n’eu pour effet que lui donner davantage envie de ce moment si particulier. Il retira d’un main experte son soutient gorge ainsi que le dernier tissu qui les séparait. Il déposa de long baiser dans son cou, jouant de sa langue sur celui ci. Elle ne pu s’empêchait de rire. Un rire clair, franc et si beau. Il revint vers elle, l’embrassa et mit toute sa délicatesse dans le geste. Elle ferma les yeux plus fort, sentant une infime douleur dans son bas ventre. Elle se mordit doucement la lèvres. Il comprit et garda sa position, l’habituant à de nouveaux plaisir qu’il espérait lui faire découvrir. Elle se détendit, appréciant désormais le moment à sa juste valeur. Il entama un lent va et vient. Elle plaquait ses mains dans son dos, évitant ses ongles de s’enfoncer dans sa chair sous l’emprise d’une nouvelle vague de plaisir. Il logea sa tête au creux de son cou. Elle gémit longuement et il accéléra le mouvement. Elle retrouva son visage dans un dernier baiser avant la fureur d’un septième ciel qu’elle découvrait avec lui. Elle arqua son corps sous le siens et tout deux ne retinrent plus les râles de plaisir qui s’imposaient à eux. La température de la pièce augmenta de plusieurs degrés tandis qu’il roulait sur le coté. Elle sentit un froid l’envahir et se dépêcha de se rapprocher de son corps. Elle se logea au creux de lui, et il se sentit revivre quand il passa ses bras autour d’elle, la resserrant contre lui.

- Je crois que je…

Il descendit son visage vers le sien, entendant sa voix a peine audible.

- Je suis amoureuse de toi Lex.

- Je ne sais pas si c’est une bonne chose, rit il.

- Tu dis vrai ?

- Oui, reprit il sérieusement.

Elle se figea, avalant durement ce qu’il venait de dire tandis que Lex réfléchissait à ses paroles.

- Lex je..

- Reposes moi une question, coupa il.

Elle fronça les sourcils, ne comprenant pas le fin mot de la situation mais s’exécuta :

- A quoi rime ce qu’on vient de faire.

- A rien, dit il souriant.

Son cœur manqua de battre. Tout s’effondrait encore et toujours, il était vraiment aussi salo qu’on le disait. Il avait eu ce qu’il voulait et elle passait encore une fois pour ce qu’elle était, une moins que rien. Elle retint le drap contre elle et s’apprêtait à sortir du lit quand il la retint :

- Je crois que tu viens de perdre ton pouvoir.

- Pardon ?

- Rien de ce que je viens de te dire n’est vrai.

Il la força à se recoucher d’une pression sur le bras et la maintint sous lui.

- Je sais parfaitement à quoi rime ce qu’on vient de faire, c’est une promesse d’avenir Chloé, si tu veux bien de moi.

Elle ne pu empêcher un sourire béat s’imprimer sur son visage et elle l’embrassa avec tout l’amour qu’elle pouvait y mettre.

- Tu es mon remède à tout alors !

- Et toi le mien.

Il l’embrassa de nouveau. Il l’entourait de ses bras puissant tandis qu’elle se plaisait au creux de lui.

- Alors est ce que le remède peu encore faire effet ? ou j’ai épuisé le stock ?

- Tu va voir ce que c’est que de me mettre au défit !

Il laissa ses mains se balader tandis qu’il savait que son avenir dépendrait d’elle. C’était une vision de jours meilleurs, une promesse que jamais personne ne briserai, une alliance qui subsisterait contre vent et marée et qui accomplirait de grandes choses…